Mildred Lisette Norman, connue sous le nom de Peace Pilgrim (Pèlerine de Paix)
Un appel de l’âme qui l’amena à marcher pour la paix pendant 28 ans.
“Elle commença en 1953, en marchant dans tous les États-Unis, exprimant ses idées à propos de la paix et de la fin de la guerre, se faisant appeler «Peace Pilgrim». Peace Pilgrim avait pour seuls biens les vêtements qu'elle portait sur elle et les choses qu'elle avait dans les poches de sa tunique bleue sur le devant de laquelle était écrit « Pèlerin de la paix » (PEACE PILGRIM) et dans son dos « 25 000 miles à pied pour la paix » (25,000 MILES ON FOOT FOR PEACE). Sans aucune organisation pour la soutenir, sans argent dans les poches, et sans demander pour de la nourriture ou un toit, elle n'a jamais manqué de rien en 28 ans de marche.” Wikipedia
(Photo de James B. Burton) Sa tâche et sa propre transformation ont inspiré des millions de personnes à travers le monde. Son modèle de ténacité à suivre la voie qui a un coeur, malgré les embûches, est remarquable, surtout dans les conditions qu’elle a choisi de le faire. Elle a été pour moi un exemple m’enjoignant à m’engager sur la voie sur laquelle je marche aujourd’hui. Aider l’autre à faire briller sa lumière malgré les obstacles, le conditionnement familial et social. Ceci a fait naître le système de développement personnel créé en 2008 sous le nom de “Mülélé: se transformer en harmonie sous la direction de l’âme”. Cet enseignement qui est partagé par le biais des activités offertes par le Centre Voyage de Vie que je créais physiquement en 2013 au Costa Rica (Centro Viaje de Vida) et qui est devenu par la suite “un centre volant” avec des présentations “faites maison” visitant des associations, regroupements et des demeures privées, ainsi que des rencontres individuelles personnalisées. Même si nous ne croyons pas à ceci ou cela comme l’être humain se plaît à le dire, rappelons-nous que la souffrance n'a pas d'appellation, de genre, ni de couleur ou de saveur. Dans toutes les couches de la société la souffrance existe, elle se fait présente là où on ne l’espère pas, on ne la comprend pas toujours et elle est parfois jugée ou pire encore, ignorée. Mais qu’en est-il de la joie, de l’amour et du bien-être? Sont-ils voués à l’échec comme le gâteau dont la pâte ne lève pas? Quand pourrons-nous les savourer en tout temps? J’ai longtemps pensé qu’il était possible d’y arriver seulement au dernier souffle du corps flétri par les années de lutte sur une terre inhospitalière. Mais c’est faux. Un des plus grands mensonges de la séparation de l’âme du Soi est celui de croire que nous sommes condamnés à la misère sous forme de culpabilité, de n’être pas assez ceci ou cela, de ne pas faire, ou avoir fait ceci ou cela. Je ne peux faire de ce monde, un monde meilleur sauf en travaillant à ma propre transformation pour mieux comprendre les messages de l’âme qui n’ont cessé d’être insufflés dans l’esprit depuis le premier jour où celle-ci entrait dans le corps appelé Monique, Josianne, Luc, etc. L’âme ne peut retourner à la maison que via son incarnation dans ces corps appelés “êtres humains”. Elle n’a pas conscience d’elle-même, sauf quand elle est dans le corps physique. Notre tâche est d’harmoniser notre être pour enfin entendre la voix du coeur, celle qui nous encourage à accepter que nous sommes les seuls responsables des actions posées pour découvrir qui nous sommes vraiment. Cette voix ne juge pas, ne juge jamais. C’est à nous de choisir. J’ai fait le mien, un choix à refaire à chaque instant malgré les difficultés. Merci Peace Pilgrim!…Et à bien d’autres guides sous forme d’amis qui ont croisé mon chemin depuis le premier jour. Monique Chabot, Conseillère en développement personnel Apprendre à se connaître pour faire briller sa lumière MoniqueChabot.CostaRica@gmail.com
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